L’Amour, la fantasia, Ombre sultane et Vaste est la prison forment les trois premiers volets du « Quatuor d’Alger « , vaste fresque, aussi singulière que fascinante, où s’entremêlent l’histoire algérienne, l’autobiographie et la mémoire des femmes.
Il faut se laisser porter par cette écriture méditerranéenne pour comprendre l’infinie blessure et la longue bataille des épouses, du rêve de dévoilement à la décision de jeter le voile, de la colère des hommes face à une jeune femme « nue « , au rire d’une jeune femme, cheveux au vent.
Assia Djebar, oscillant entre espoir et désespoir, n’en a pas fini de dire la nuit des femmes et leur lutte pour pouvoir, enfin, regarder le soleil en face.
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