Dans la ville de Sour El Ghozlane, Younès, un jeune apprenti libraire lié d’amitié avec son patron Amar, nous dévoile l’aventure de sa vie, ses amours et ses inquiétudes.
C’est à partir d’un manuscrit déposé dans leur précieuse invention, une boîte à livres, que nos personnages partent à la recherche de la vérité. Une aventure qui marquera leur vie tout en retraçant l’histoire des Algériens dans un pays marqué par la terreur. Une découverte de l’amitié, de l’amour, du sens de la vie à travers l’histoire, les souvenirs et l’éternelle joie de vivre, malgré les difficultés qui se présentent.
Kateb Yacine, poète, romancier, dramaturge, est certainement celui qui se confond intimement avec la notion de liberté, celle entendue dans tous les sens, autant philosophique que politique ou dans la création. La liberté du poète est complète dans ce qu’il choisit de faire, dire, créer… C’est cela même Kateb Yacine.
Cet ouvrage, très subjectif, non exhaustif, est un rappel de ce que fut le poète et l’homme, vu par des poètes, des universitaires, dramaturges, journalistes et amis. Il se veut résolument amoureux de l’œuvre du poète qui résonne aujourd’hui encore, au moment où les esprits se ferment et les libertés rétrécissent.
« Il prendra la peine de regarder derrière lui, de regarder sa vie. Il sait qu’il a souffert comme
un chien essoufflé, enragé, mais qui a pourtant continué, même quant tout partait en l’air. Il a
rampé, dans les égouts de cette ville qui n’a jamais voulu de lui, au fond de l’abime, il s’est
écrasé comme un avion en pleine chute.
Alors que Peter se préparait au décollage, les larmes remplissaient les yeux de Zoe, Peter prit sa main dans la sienne et lui dit « Je ne peux pas rester, mais je ne pourrais jamais vous oublier, Docteur Middleton ! »
Ce recueil est constitué de la cinquantaine de chroniques régulièrement données par Rachid Mimouni à Radio Medi 1, à Tanger. Consacrées à l’actualité algérienne ou mondiale, elles évoquent aussi ces petits faits du quotidien qui forment la toile de fond sur laquelle se joue le dramatique dérèglement de l’Histoire…
Lorsque Djabri arrive à l’école Normale de la capitale, il a la vie devant lui: la paix de l’indépendance à découvrir, les espoirs de la révolution, l’amitié et peut être l’amour. Mais l’univers clos d’un lycée « destiné aux pauvres » lui impose des règles, des désillusions, des petitesses…
Les couchers du soleil sont admirables dans le grand Sud, et plus beaux encore à El Oued, ville des mille coupoles. C’est aussi à partir de B’hima, paisible bourgade cernée de merveilleuses dunes géantes dont les sommets se rident par l’action du vent, que l’on distingue le mieux cette féerie, si bien décrite par la célèbre Isabelle Eberhardt qui y séjourna en 1899…
Récupération du masque de Gorgone – Constantine capitale de la culture arabe 2015 – Dénomination des cités et des rues algériennes – Enfants nés sous X – Trafic de pièces archéologiques…
Transfert illicite de devises – Effondrement du marché pétrolier – Agriculture – Aquaculture – Télétravail – Subvention et transferts sociaux – Médicament…
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