[…] Un vieillard était assis à l’ombre du pont. Je descendis le saluer. Je lui demandai pourquoi on construisait des ponts sur des rivières mortes.
– Des planificateurs arrogants et lointains ont quadrillé leurs cartes de traits rectilignes et puissants, à l’encre de Chine, indélébile, de façon à rendre leurs projets définitifs et l’option irréversible. Mais le fleuve coulait ailleurs, serein et libre.
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